Titre : Le hasard fait bien les choses Auteur : Catherine Bordeleau Résumer : Un petit accident arrive dans le bloc appartement de Mulder, ce qui oblige nos deux agents à vivre ensemble pendant un petit moment et qui provoque une bien drôle d'aventure Š AVERTISSEMENT : Les personnages de cette histoire appartiennent en partie à Chris Carter, pour les autres, ils m¹appartiennent. Cette histoire reste ma propriété. Toute copie interdite. Le hasard fait bien les choses J. Edgar Hoover building Lundi 25 octobre 7 :45 du matin Par ce frisquet Lundi matin d¹octobre, Dana Scully ce rendait comme à l¹habitude au quartier général du FBI où elle avait l¹habitude de travailler. Seulement aujourd¹hui, elle se demandait si son collègue Fox Mulder serait présent. En effet, Mulder était partit en vacances ils y a deux semaines de cela. Au départ, il était censé ne prendre qu¹une seule semaine de congés mais la température était trop belle là où il était et il avait décidé de prendre une autre petite semaine de vacances. Dana se dit alors que s¹il était capable de prendre deux semaines de vacances alors pourquoi pas trois? Et de plus, la température là-bas était si belle! Quand il fait aussi beau dehors, on a vraiment pas envies de s¹enfermer dans un bureau lugubre pour lire des dossiers poussiéreux et ennuyeux. Mais quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit Mulder bien accoté au fond de sa chaise, les pieds sur le bureau en train de lire une revue dont tout le monde connais l¹existence mais dont seule les hommes en font lecture ou plutôt en regarde les imagesŠ -Tiens bonjour Mulder, je ne pensait pas te voir ici aujourd¹hui! -En fait, je suis arrivé au bureau hier soir. -Tu as passer la nuit ici? -Oui, c¹est une façon de voir les choses. -Et comment s¹est passé ton voyage? -Ah, très bien merci. -Qu¹est ce que tu as fait comme activités? -Bien, disons que côté divertissement j¹aurai pus mieux choisir, mais sur la plage! Il y avait de ces fillesŠ -Bon, ça va! Épargne moi les détails. -Et côté travaille? Elle répondit en pointant du doigt une pile de dossier. -Comme tu vois mon p¹tit Mulder, on a du pain sur la planche. Mulder prit une grosse voix et dit du ton qui se voulait taquin : -C¹est dans ces moment là que je me dis que je suis irremplaçable. Scully sourit et tout deux se mirent à la tache. Ils travaillèrent ainsi toute la journée. J. Edgar Hoover building Lundi 25 octobre 4 :15 de l¹après-midi Mulder et Scully avaient travaillé toute la journée. Ils étaient tous deux très fatigué. Scully rassemblait sommairement ses affaires et se préparait à partir. Elle soupira, s¹étira un peu et dit à l¹intention de son compagnon de travaille : -Eh bien, je ne suis pas fâché de rentrer à la maison! -Moi, j¹ai surtout hâte d¹être dans mon lit douillet afin de sombrer dans un sommeil réparateur. Mais avant, je vais devoir défaire mes nombreux bagages. -Tu n¹as pas défait tes bagages? -Bien non, puisque je me suis rendu directement de l¹aéroport jusqu¹ici. -Eh bien bonne chance Mulder. -Merci, bonne soirée Scully. -Toi de même! Et sur ce, elle quitta la pièce. Appartement de Scully Lundi 25 octobre 8 :30 du soir Scully passa sa main dans le miroir de la salle de bain afin d¹enlever la buée qu¹avait produit la chaleur élever de l¹eau dans laquelle elle avait trempé pendant les 30 dernières minutes. Rien de telle qu¹un bon bain chaud remplie de mousse d¹une odeur délicate pour détendre! Elle observa son reflet dans le miroir. La fatigue accumuler depuis les derniers jours laissait sa trace sur son visage. « Tu devrais prendre du repos Dana! » C¹est ce que sa mère lui aurait lui aurait dit si elle avait été avec elle présentement. Cette pensé fit sourire Scully. Elle alla à sa chambre et enfila son pyjamas préféré, ses confortables pantoufles et alla se faire chauffer du lait à la cuisine. Une fois le lait chaud, elle le versa dans une tasse et y ajouta du chocolat et quelques petites guimauves. Qu¹allait-elle faire maintenant? Dana s¹empara du télé horaire le plus proche et regarda le programme de la soirée. Deux films intéressants s¹offrait à elle. Tout d¹abord il y avait un vieux film de Walt Disney que Scully avait tant regardé étant petite : My Fair Lady ou un drame plus récent : La blonde de mon père avec Julia Roberts et Susan Sarandon. Elle opta pour la seconde option. Elle ouvra le téléviseur. Le film ne faisait que commencer, parfait. Dana avait horreur de ne pas voir le début ou la fin d¹un film. Elle prit une gorgé de son chocolat chaud. Le liquide brûlant descendit le long de sa gorge. Scully s¹installa plus confortablement dans son sofa. Elle adorait ces petite soirées tranquilles. Appartement de Scully Lundi 25 octobre 10 :20 du soir Le film touchait à sa fin et Scully ne pu retenir ses larmes au moment où la dame doit annoncer à ses enfants qu¹elle va mourir de son cancer. Le générique défilait à l¹écran. Scully s¹apprêtait à éteindre la télévision quand le téléphone sonna : -Drinnnnnnnng, drinnnnnnnnnng Scully se leva pour allé répondre. Elle prit le téléphone et répondit d¹une voix tremblante : -Allo? -Scully? Ça ne va pas? Elle renifla. -Non, non ça va Mulder. Mais toi, ça n¹a pas l¹air d¹aller. -Effectivement Scully, c¹est loin d¹allé bien! -Mais mon dieu, ça a l¹air grave. -Grave tu dis! Mais c¹est catastrophique!!! -Mais voyons Mulder, parle. -C¹est mon appartement, ilŠ on y a mis le feu! - Mais qui a pu faire une chose pareil ? -Je n¹en ai pas la moindre idée! Étant donné la situation, Scully se sentie bien obliger d¹offrir asile à son collègue. -Bien, ce n¹est qu¹une suggestion, mais tu Š tu pourrais si ça te plait, venir chez moi pour disons, quelques jours. Le temps de « digérer » les événement. -T¹en ai certaine? -Bien sur! -D¹accord, j¹arrive. -Euh Mulder! -Oui ? -Promet moi une chose. -Laquelle? -Conduis-toi d'une manière respectable. -D¹accord Scully. Scully resta quelques instants immobile à fixer le téléphone. Mais qu¹est-ce qui lui avait passé par la tête !?! Elle, d¹habitude si réticente à la simple idée de partager une chambre d¹hôtel avec lui. Et maintenant, voilà quelle l¹invitait à venir rester chez elle pour ont ne sait combien de temps ! « Décidément ma p¹tite Dana, se dit Scully pour elle même, cette fois-ci c¹est sérieux : tu as vraiment un besoin urgent de vacances! » Appartement de Scully Jeudi 28 octobre 7 :30 du soir Les trois premiers jour de vie commune avec Mulder s'étaient plutôt bien passerŠ Scully venait de prendre sa douche et maintenant c'est Mulder qui ce trouvait à l'intérieur de celle-ci. Tant mieux! Cela donnait quelques minute à Scully pour elle seuleŠ Bien que tout s'était bien déroulé avec Mulder ces derniers jours, Scully trouvait un peu difficile d'avoir toujours à faire des concessions. Pas qu'elle était égoïste, non loin de là, mais seulement c'était un changement assez radicale. Un jour elle est complètement seule et le lendemain elle se retrouve avec un "colocataire". EnfinŠ Scully en profita donc pour écouter un peu de musique. Elle alluma la radio et se lança à la recherche d'une station convenable. Cela prit quelques secondes avant qu'elle n'en trouve une. L'animateur parlait avec une voix enjoué: - Nous allons maintenant entendre Britney Spears avec sa toute nouvelle chanson: You drive me crazyŠ Puis l'animateur se tût laissant sa place à une mélodie assez rythmé. D'habitude, Scully ne raffole pas particulièrement de ce style de musique mais aujourd'hui, cela ne la dérangeait pas. La chanteuse commença à chanter. -Baby, I'm so into you. You got that something, what can I do? Baby, you spend me around. The earth is moving but I can't feel the ground. Every time you look at me, My heart is jumping it's easy to see You drive me crazy, I just can't sleepŠ Soudainement la chanson ,ou plutôt les paroles de celle-ci, se mit à irriter Scully. Aussitôt elle tourna le bouton la radio qui émis un petit grésillement avant de capter une autre chanson. Celle qu'elle trouva était déjà commencé. -Š Cause the radio is playing a song that remind me of you. Baby, when you're gone, I realise I'm in love Days go on and on, and the nights just seems so long Even food don't taste that good! Drink ain't doing what it should Things just feel so wrong Baby, when you're goneŠ Celle-la aussi irrita Scully qui décida de fermer la radio! Mais pourquoi toutes les chansons qui jouaient à la radio parlaient d'amour? EnfinŠ Dana tourna la tête, Mulder venait de sortir de la salle de bain. Ses cheveux encore humide en témoignaient. - Euh Scully, j'ai quelque chose à te dire. - Oui, quoi? - Aujourd'hui, Diana m'a appelé au bureau et étant donné qu'elle à appris que mon appartement à brûler, elle m'a offert d'aller habiter chez elle le temps de me trouver un autre logement. J'ai pensé que ce serait bien, parce que je ne voudrait pas abuser de ton hospitalité. Mais néanmoins, je me suis dit que te le demander avant serait plus polit. Alors ça te dérange? Scully devint furieuse à l'idée que Mulder aille dormir chez cette chipie de Diana Fowley. Mais elle tenta tout de même de garder son calme. C'est donc avec sa voix la plus calme qu'elle répondit à Mulder. - Mais tu sais Mulder, ça ne me dérange pas du tout que tu reste ici. Au contraire, ça me fais vraiment plaisir! - Tu es certaine? Parce que je ne me sentirais pas du tout blessé que tu veuilles que je parte... Scully perdit un peu de son calme et répondit d'un ton un peu plus sec: - Écoute Mulder! Si tu préfère aller chez cetteŠ cetteŠ Miss Fowley, alors libre à toi! Mais dit toi que tu ne sera jamais aussi bien accueilli que chez moi! D'accord? - EuhŠ oui bien sur, je suis désolé de t'avoir offusquer Scully, je ne voulais pasŠ Euh, si ça ne te dérange pas , je crois que je vais aller prendre une marcheŠ Et sur ce, il se dirigea vers la sortie et attrapa son manteau en sortant. Rendu à l'extérieur, Mulder marchait tranquillement dans les rues paisibles de Georgetown, quand soudain, il vit une petite statuette en cristal dans la vitrine d'une boutique souvenir du coin. Celle-ci représentait une licorne. "Étant donné que c'est moi qui a mis Scully de mauvaise humeur, je devrais m'excuser et lui offrir un petit cadeau." Ce dit notre petit Fox. Il entra donc dans la boutique et acheta la statuette. Puis, il retourna chez Scully. Appartement de Scully Jeudi 28 octobre 8:15 du soir Aussitôt qu'elle l'entendit entrer, Dana se prépara à s'excuser. Non mais, elle n'avait pas le droit de le traiter ainsi. Ils n'étaient même pas encore un couple et déjà elle lui faisait des crises de jalousie. De son côté aussi Fox ce prépara à s'excuser, ce qui eu pour conséquence qu'aussitôt qu'il eu mit le pied dans l'appartement Scully et lui s'excusères en même temps: -JE SUIS VRAIMENT DÉSOLÉ, JE N'AURAIS PAS DUŠ Aussitôt qu'ils réalisèrent qu'ils parlait en même temps, Mulder et Scully pouffèrent de rire. C'est Dana qui parvint en premier à contrôler son rire et demanda à l'intention de Fox: - Ah, je vois que tu as profiter de ta promenade pour faire quelques emplettes! - En fait, c'est pour toi. Pour me faire pardonner mon attitude de tout à l'heure. - Non Mulder, c'est de ma faute. Je n'avais pas le droit de te traiter ainsi. - Enfin, disons alors que c'est un cadeau de remerciement - Bon d'accord. Scully prit le paquet qui s'offrait à elle et le déballa avec précautions. - Oh Mulder! Tu n'aurais pas dû, c'est vraiment magnifique! - Non, ce n'est rien. - Je vais la déposer sur la table du salon. Et Scully s'exécuta. Puis, elle invita Mulder à venir s'assoire avec elle sur le canapé. Mulder vint, et il regardèrent la télévision pendant une bonne partie de la soirée. Appartement de Scully Jeudi 28 octobre 11:00 du soir L'annonceur de télévision venait d'apparaître à l'écran et les informations de 11hrs allaient commencer. - Bonsoir Mesdames et Messieurs et bienvenues à "La Région ce soir". Alors en manchette ce soir: L'OTAN à Š - Scully. - Quoi? - Tu entends ce bruit bizarre? - Non. Attend. Scully coupa le son de la télévision pour voir si elle aussi pouvait entendre ce bruit dont Mulder parlait. - Et maintenant, tu l'entends? - Oui, on dirai que ça vient de l'extérieur. - Non, c'est tout prèsŠ Scully l'interrompit d'un geste de la main gauche et pointa la table du salon de l'autre. Elle dit d'une voix incertaine: - Regarde Mulder. La licorne de cristal que tu m'a offerte tout à l'heure, ELLE BOUGE !!! - Non Scully, c'est pas possible. - Mulder je t'assureŠ Regarde de plus près. - Oui, t'as raisonŠ Mais Mulder n'u pas le temps d'ajouter quoi que ce soit, puisque qu'une puissante lumière sortant de nulle part les aveuglas. Puis, à cette lumière étrange s'ajouta des vents puissants. Scully tenta d'attraper la main de Mulder, mais celui-ci fut englouti par la lumière juste avant elle. Lieux indéterminés Date non-précise Heure inconnue Scully ouvrit les yeux ce matin-là pour ce rendre compte qu'elle n'était pas chez elle. Non, loin de là! Elle se trouvait dans un lit immense avec des draps de dentelles ornés d'or et il devait y avoir au minimum 5 oreillers avec elle. Elle embrassa du regard la pièce et s'étonna de la beauté de celle-ci. Les murs étaient d'une blancheur immaculé et ils étaient ornés de fins motifs dorée religieux, des anges en majeur partie." Mais où diable ai-je atterris?" Se demanda-t-elle. Elle se leva prestement et se dirigea à vive allure vers la porte la plus proche. En chemin, elle passa devant un grand miroir et ne pu s'empêcher de s'arrêter devant celle-ci. Elle se frotta les yeux pour vérifier si elle était bien réveiller. Puis elle murmura pour elle même:" Mes cheveux! Qu'est-ce qui est arriver à mes cheveux!?!" Puis elle tâta de ses fines mains ses long, beaucoup plus long qu'à l'habitude cheveux roux.. Soudain, des bruits de pas qui s'approchaient retentirent dans ce que Scully supposait être un corridor. Deux dames entrèrent dans la pièce. Une était habillé d'une longue robe d'époque de velours bleu et l'autre comme les bonnes sont habillées dans les films anciens. Mais la première dame attira d'avantage sont attention, que faisait- t-elle habillé comme ça? On aurait dit qu'elle se pensait à une époque où les rois gouvernaient sur leur royaume et que l'Amérique n'avait pas encore été découverteŠ Elle fut interrompit dans ses pensées quand la dame habillée de velours s'adressa à elle: - Mlle de Blois? Mlle de Blois, est-ce que vous vous sentez bien ? Scully mit quelques instant à répondre. Elle n'était pas certaine que la dame lui parlait à elle. Mais après une analyse rapide de la situation, elle en vint à la conclusion que le message s'adressait à elle. Elle s'efforça de garder son calme bien qu'elle sentait la panique imminente. - Oui, oui. Je me sens en pleine forme. - Bien! Parce que vous avez une horaire charger ce matin. Tout d'abord votre père, le roi, désire vous rencontrer au petit déjeuner pour vous parler de votre futur époux. Ensuite, nous devons allez choisir les bijoux que vous porterais ce soir pour le bal. Et puis enfin, vous allez vous reposer un peu et prendre un bon bain avant de vous préparer pour la fête en votre honneur. Vous devez être à votre meilleur pour rencontrer votre époux. Scully resta la bouche ouverte pendant quelques seconde puis, elle se repris et dit: - Euh madameŠ euh excuser moi mais j'ai oublier votre nomŠ - Mlle êtes- vous certaine que tout va bien? Vous avez l'air pâle. - Oui, oui, tout vas très bien. Je crois seulement que je suis un peu fatiguerŠ Pouvez- vous me r'appeler votre nom SVP? - Oui, bien sur. Je suis madame de Cantonnade. Sophie de Cantonnade. Mais appelez- moi comtesse, comme à l'habitude. - D'accord, comtesse. - Nous devrions nous dépêcher, votre père n'aime pas attendre. Jeanne, allez chercher la robe de soie française bleu. - Oui madame. Scully commençait à comprendre. Tout ce qui arrivait maintenant c'était à cause de la licorne. La licorne que Mulder lui avait donner, d'ailleurs où était-il celui-là ? Quelque part non loin d'où Scully était À la même époque que celle-ci Aux alentours de midi Mulder fut réveiller par quelqu'un qui sonnait une petite clochette dans une pièce près de celle où il dormait quelques secondes auparavant. Il entrouvrit les yeux pour découvrir une chambre qui lui était totalement inconnue. Il mit d'abord ses visions sur le dos du sommeil qui ne l'avait toujours pas quitter, mais quand un homme étrange se pencha au- dessus de lui, il se réveilla brusquement et s'aperçu qu'il ne rêvait pas. Il n'ut même pas le temps de dire quoi que ce soit, que déjà l'homme prit la parole. - Vite monsieur, il faut vous lever et prendre la route pour le palais royale tout de suite. Sinon, vous allez être en retard pour le bal en votre honneur et en celui de votre future épouse. Mulder fixa l'homme quelques instants et décida de ne pas poser de questions. Enfin, pas maintenant. Il se leva, s'habilla et sortit dehors. C'est à ce moment là qu'il douta de sa lucidité. Quand il vit le paysage et le carrosse digne d'un livre de conte de fée qui l'attendait. - Monsieur est-il prêt à partir? - EuhŠ ouiŠ - Alors monter je vous pris. - Merci. Fox entra dans son "nouveau" moyen de transport et s'assit sur la confortable banquette de velours qu'il y avait à l'intérieur. Puis, il commença à ce questionner sur les évènements. Soudain, il eu l'impression qu'une lumière venait de s'allumer au bout du long tunnel qu'était son cerveau. "Mais oui!" se dit-il pour lui même. "C'est la licorne que j'ai offerte à Scully qui est responsable de tout ces étranges évènements! Je me demande bien où elle est présentement elleŠ Château où Scully se trouve Même journée que tantôt À quelques minutes du commencement du bal Dana avait réfléchit toute la journée et en était venu à la conclusion que mieux valait faire comme si de rien était. Jusqu'à ce qu'elle retrouve Mulder. Elle savait désormais qu'elle s'appelait Élise de Blois, qu'elle était la fille du roi et que ce soir un bal était organiser afin qu'elle rencontre l'homme qu'elle allait épouser sous peu. Elle se regarda pour la dixième fois consécutive dans la glace. Inutile de dire qu'elle ne détestait pas son nouveau look. Elle portait une magnifique robe rose pâle dont les manches 3 quarts était ornées de fine dentelle blanche. Le bas de sa robe était parsemée de petits diamants et toute sa robe était ornée d'un motif de fleurs dorées. Ses cheveux, maintenant longs, avaient été bouclée et remonté en une très belle peignures d'époque. Elle portait aussi un diadème avec collier et boucles d'oreilles assorties. Elle attendit impatiemment l'arriver de celui qui était supposer être son futur mari. Des bruits de pas ce firent entendre. Scully ce retourna et faillit crier à la vu de celui qui lui était destinerŠ Même château Même journée À quelques minutes du bal Mulder avançait tranquillement dans un long couloir. Il détestait son habillement, il trouvait cela ridicule. On lui avait dit d'avancer tout droit, que sa future femme l'attendrait dans ce couloir. Il venait d'apercevoir une silhouette avec une chevelure rousse. Hum, elle n'avait pas l'air si mal après toutŠ Les rousses, c'était celle qu'il préféraitŠ Mais il fut vraiment surpris quand il vit cette femme ce retourner. - Mulder!!! Tu es ici toi aussi!!! - Scully! Je croyait que je n'allait jamais te retrouver! - Bon, tu as une idée pour nous faire sortir d'ici? - J'ai penser que si on retrouvait la licorne de cristal alors peut-être qu'ont pourrait revenir dans le présentŠ Mulder fut interrompus par Scully. - Mulder regarde là-bas, tu vois cet objet qui brille? - Oui, allons voir de plus près! Ils allèrent jusqu'à l'endroit où Scully avait vu l'objet brillant quelques minutes auparavant. Dans une grande étagère se tenait une petite licorne en cristal se tenait fièrement à cet endroit. Dana la prit dans ses mains et aussitôt Mulder et elle furent ramener dans le présent. Appartement de Scully Vendredi 29 octobre 8 heures du matin Scully se réveilla la première. Elle était étendue sur le plancher du salon, Mulder étendu à ses côtés. Elle le réveilla. - Mulder, tout vas bien ? - Oui et toi? - OuiŠ Tu crois que tout ça est arriver pour vrai? - J'en sais rienŠ Mulder et Scully se parlaient depuis un bon moment, mais aucun des deux n'avait osé ouvrir les yeux. Mulder se risqua le premier. Il ouvrit un ¦il puis l'autre et se frotta les yeux pour savoir s'il ne rêvait pasŠ - Scully, ta robeŠ Scully ouvrit les yeux et regarda Mulder puis elle dit à son tour: - Mulder, ton habillement. Tout deux se regardèrent pendant longtemps. Ils portaient les mêmes habits que dans le "Passé". Puis Scully prit la parole: - En tout les cas Mulder, que cette histoire soit vrai ou non, j'ai réalisé quelque chose à travers tout ça. - Ah oui? Et c'est quoi? - C'est que sans toi, ma vie n'est rien. Je t'aime Mulder. - Je t'aime aussi Scully. Alors, vous avez aimé cette histoire? J'attends vos commentaires: Cathou85@yahoo.com