Titre : Un enfant peut en cacher un autre 1/3 Auteur : Steff dit La Frite. Adresse : monnac2@wanadoo.fr Résumé : Mulder et beaucoup d¹autres personnages reviennent. Un nouveau complot se trame. Mais le bonheur naissant d¹une future maman sera-t-il plus fort que tout? Shipper : Oui Un enfant peut en cacher un autre 1/3 LIEU INCONNU Dans une grande salle noire, éclairait par des faisceaux lumineux, des hommes et des femmes sont allongés sur des tables d¹opérations. Rien ne choque dans cette scène sauf peut-être que tous sont enceintes de plusieurs mois. Les femmes comme les hommes. Des moniteurs sont branchés, chacun suit le rythme cardiaque des f¦tus. WASHINGTON. SIÈGE DU FBI Scully assise derrière le bureau de Mulder feuillette un nouveau dossier. Elle est interrompue par l¹arrivée de Doggett. Doggett : Bonjours agent Scully! Vous allez comment aujourd¹hui? Scully : Bonjours. Bien merci. Depuis deux mois, Scully et Doggett travaillent ensemble, sur les affaires non-classées. Si au début leur partenariat était un peu tumultueux, aujourd¹hui c¹est une véritable complicité qui s¹est formée autour de leur duo. Mais ce n¹est pas Mulder. Il n¹y à pas la nécessité de la présence de l¹autre au près de soi, de cet amour que Scully entretenait avec Mulder depuis sept longues années. Cet amour si longtemps recherché, voit son aboutissement dans l¹enfant que Scully porte en elle. L¹enfant de Mulder. Scully : Je viens de lire un rapport. Sur des infanticides. Doggett : Je ne vois pas où c¹est une affaire non-classée?! Scully : Chaque f¦tus a été retrouvé à Virgine Vallée. Doggett : Et alors? Scully : (énervée par la réaction de Doggett) Et alors, nous avons constaté une forte activité, dite extraterrestre, résumé par des enlèvements successifs et des combustions spontanées collectives. Doggett : ExtraterrestreŠ ah ça fait longtemps que nous avons pas courut après des p¹tits hommes verts. Scully : Bon et bien je vous téléphonerais de là bas. Doggett : Vous ne voulez pas que je viennes avec vous? Scully : Comme apparemment, cette nouvelle enquête à l¹air d¹ébranler vos convictions si ancrées, je préfère y aller seule. Doggett : Non excusez moi. Je vais commander nos billets. LIEU INCONNU Toutes les tables d¹opération sont vides. Dans un des coins de la pièce, on trouve six berceaux. Les enfants sont calmes, aucun bruit ne sort de la pièce. Dans la pièce à coté de celle où se trouve les bébés, trois hommes et une femme parlent au centre de la pièce. Un des trois hommes à l¹air très malade, il est allongé. Homme1 : Les enfants, n¹ont pas l¹air de réagir au virus. Nous allons faire les premiers tests sur leur ADN cet après midi. Femme : Les médecins ne sont pas très optimistes. Homme allongé : Si les résultats ne sont pas ceux que nous attendons, il faudra élaborer un autre plan. Homme3 : Je ne penses pas que mon père tiennent encore longtemps le coup. Mais peut-être que cela ne vous émeut pas du tout. Homme1 : Ce que nous faisons ensemble, n¹est qu¹un moyen et non une fin. C¹est notre survie et celle de la population que nous essayons de protéger, et non pas la présence de votre père sur la terre. Un homme de plus ou de moins, ça ne se remarque pas du tout. TROIS JOURS PLUS TARD Les trois hommes et la femme sont à la même place que trois jours au paravent. L¹atmosphére est chargée de vibrations négatives. Homme3 : Et alors, qu¹est ce que les tests racontent? Homme allongé : Est-ce que je pourrais bientôt refumer. Ca fait quatre mois que je n¹est pas touché à une cigarette. Homme1 : (d¹un air moqueur) C¹est touchant. Femme : Voici les résultats des tests effectués sur l¹ADN des enfants. Elle tend un dossier à l¹homme allongé. L¹ADN extraterrestre, a provoqué chez les nourrissons, des anémies très importantes, ou des modification dans leur propre ADN. Aucune greffe n¹est possible. Votre organisme fera un rejet automatiquement, et vous pourriez mourir d¹une embolie. Statistiquement, les bébés, vont vivre encore quelques jours. Il faudra les faire disparaître aussi. Homme allongé : Comme les autres. Et les porteurs? Homme1 : Nous ne pouvons plus faire de grossesses accélérées sur nos abductés. Après les dernières opérations deux d¹entre eux sont mort. Et vous vous souvenez que nous avions qu¹une seule chance avec les hommes. Nous ne pouvons plus leur implanter d¹autres ovules, ils les rejetteraient automatiquement. Homme3 : Il faut éliminer les autres. Qu¹il n¹y est plus de preuve. Femme : Non. On pourrait en avoir encore besoin. Homme allongé : Il faut trouver une autre solution. Je me sens faible. Homme1 : Prenons le plan B, à présent. SIÈGE DU FBI Scully marche dans le couloir qui mène jusqu¹à son bureau. Elle croise Skinner qui à l¹air soucieux. Scully : Monsieur?! Skinner : Bonjours agent Scully. Je venais vous voir. On a retrouver d¹autres enfants. Les corps sont intacts, une autopsie est possible. On vous attends au coroner. CORONER Scully marche dans les corridors du coroner. Son teint est pale, son coeur bat à mille à l¹heure, elle ressent le besoin inexplicable de crier, de pleurer pour essayer de faire partir la boule qui la gène dans la gorge. Le moment fatidique arrive. Scully est arrivée devant la porte. un simple geste de sa part, et elle sera dans la pièce. Mais son bras ne veut pas quitter son corps. Aucun de ses doigts réagirent aux commandes de son cerveau. Un bruit de roulettes s¹approche d¹elle. Sa tête lui dit de regarder ce qui provoque ce bruit, mais ses yeux ne réagissent pas. Voix : Vous êtes l¹agent du FBI? Scully est sortie de son état second par un infirmier qui amène un chariot, où une petite masse déforme un drap bleu. Tout en suivant, le chariot des yeux, Scully se sent mal. Sa tête tourne, les murs se rapprochent d¹elle au point de l¹écraser, et ils reculent d¹un coup, et ils tournent, ils tournent. Elle trouve une chaise, où elle peut s¹asseoir et reprendre ses esprits. Prenant sa tête entre ses deux mains, Scully essaye de faire le vide. L¹infirmier ressort. Scully sait que c¹est à elle d¹agir maintenant, mais avec qu¹elle force. Comment faire quand sa tête ne veut pas suivre son corps. Elle se lève d¹un coup, comme dans un sursaut d¹énergie. D¹un geste presque timide, elle pousse la porte et entre dans la salle. Sans regarder la table, elle se dirige vers le porte-manteaux, enlève sa veste, prend une blouse, une paire de gants, une paire de lunette. Scully s¹approche de la table, un petit corps est allongé. Scully reprend son souffle est commence son autopsie. Scully : Dossier n°45895746. Le sujet est un enfant âgé d¹approximativement une semaine. Le corps ne semble pas avoir de contusion, ni marque visible de ce qui pourrait être la cause du décès. Je vais commencer par l¹ablation du coŠ Scully est stoppée dans sa narration par un coup vif en elle. Elle baisse la tête pour regarder son ventre. Sa grossesse se remarque un peut, subitement la blouse blanche est déformée par une bosse. Scully sourit et ressent des légères brûlures sur ses paupières, se qui provoque la coulée de larmes de joie. Scully (en elle) : Regarde le ton enfant. Il bouge. C¹est la première fois qu¹il me donne un coup. Pourquoi tu n¹est pas là pour mettre tes mains sur les bosses que provoques ses petits pieds. Quelques heures plus tard. Le sourire qui éclairée le visage de Scully a totalement disparu. Elle entre dans son bureau, où elle y trouve l¹agent Doggett. Doggett : Alors qu¹a donné l¹autopsie? Scully : C¹est une mort naturelle. Tout de fois l¹enfantŠl¹ADN de cet enfant est bizarreŠ (hésitante) Doggett : Bizarre comment? Scully : Il n¹est pas totalement humain. Doggett ne répond rien. il préfère rien dire. Scully s¹assoit sur la chaise derrière le bureau, une larme coule le long de sa joue, d¹un geste automatique, elle l¹essuit avec sa main, pour que rien ne paraisse. Mais en vain, Doggett qui au même moment voulait lui dire quelque chose, à remarqué l¹état de sa partenaire. D¹un geste presque naturel, il se lève et s¹accroupit au près de Scully. Doggett : Dana que vous arrive t-il? Scully est surprise car c¹est la première fois que Doggett l¹appelle Dana. Scully : Ce n¹est rien. Cette autopsie m¹a un peu troublée. Faire des autopsies est devenu une routine pour moi, mais faire ça sur un enfant c¹est toujours pour moi une épreuve. Doggett : Ca toujours été, ou c¹est simplement depuisŠ Doggett s¹arrête en cours de route, gênée par la tournure de sa phrase. Doggett : Depuis que vous savez que vous êtes enceinte. Scully reste bouche bais. Doggett sait qu¹elle est enceinte. Scully : Oui surtout depuis que je portes ce petit être en moi. Mais depuis combien de temps vousŠ Doggett : Dés le premier jour. Vous savez plusieurs personnes ici savent que vous êtes enceinte. Scully veut répondre mais elle est interrompue par l¹arrivée de Skinner. Skinner : DanaŠ Scully sans même le laisser finir sa phrase se lève et se dirige près de luiŠ Scully : On l¹a retrouvé, ca y est. Skinner fait un signe positif avec la tête qui laisse échapper un large sourire. Skinner : Il se trouve à l¹hospital de Washington. Doggett qui ne semble pas comprendre la scène de joie qui vient se déroule sous ses yeux, suit sans un bruit Skinner et Scully. HOSPITAL, WASHINGTON Médecin : Nous l¹avons vu devant l¹hospital hier au soir. Il errer sans but précis. Il prononçait seulement trois lettres sans cesse. EuhŠ SB. Non attendez CGP ou CGM, je ne sais plus très bien. Scully : (regardant Skinner) CGB! Skinner : C¹est impossible, je le croyais mort. Scully (penchant la tête sur le côté, nerveusement) Combien de fois nous l¹avons cru mort par le passé. Il doit tenir du phénix, ce n¹est pas possible. (regardant le médecin) Et comment va l¹agent Mulder. Médecin : Il est très perturbé. Il délire, il parle de bébés morts, d¹accouchement, d¹hybridation et de CGB. Sinon nous l¹avons mit sous perfusion pour l¹hydraté. Nous avons trouvé une large ouverture sur son ventre. Nous lui avons lavé, pansé. Je ne peux pas vous dire comment il s¹est fait ça. Scully : Lui avez vous posez la question? Médecin : Euh oui, mais il s¹est mit à délirer au même moment. Il parlait d¹accouchemens d¹hommes. Il n¹est plus du tout sein d¹esprit, je suis désolé. Scully : Je veux le voir. Médecin : Je veux bien, mais je veux que vous sachiez d¹abord que nous avons été obligé de le mettre sous tranquillisant. Il est brutal vis-à-vis du personnel, mais aussi vis-à-vis de lui même. Scully, Skinner et le médecin continuent leur conversation, tout en traversant le corridor de l¹hospital. Ils s¹arrêtent devant une porte. Un infirmier est à l¹intérieur de la pièce. Une fois à l¹intérieur, Scully est stupéfaite par ce qu¹elle voit. Mulder dans un élan de violence, projette l¹infirmier contre le mur. Dans un vent de folie, un autre infirmier arrive et essaye de neutraliser Mulder, en vain, le médecin s¹approche du lit. Il est rembarré par Mulder. Scully l¹aide à se relever. Mulder est dans un état second, rien ne peux le calmer. Scully commence à s¹approcher du lit, mais le médecin l¹empêche de continuer son ascension en la retenant par le bras. Scully : Laissez moi lui parler. Le médecin, regarde quelques secondes Scully dans les yeux. Il est surpris de voir une sérénité dans son visage. Il la laisse aller. Tout le monde dans la salle, admire ce qui la scène qui se déroule sous leurs yeux. Scully s¹approche doucement du lit de Mulder, ³c¹est moi. Mulder tu me reconnais.² Au début Mulder ne semble pas réagir, mais quand son regard croise les yeux bleus si familiers de sa partenaire, il se calme. Scully s¹asssoit près de lui au bord du lit. D¹une main douce et aimante, elle lui caresse la joue. Mulder : Scully! Te voilà enfin. Scully : Oui. ChutâtŠ il faut te reposer maintenant. Mulder sans problème s¹allonge dans son lit. Scully encore près de lui, lui caresse la joue et les cheveux. Plus un bruit ne traverse l¹atmosphére si pénible de la pièce. Après quelques minutes Mulder s¹endort. Scully se lève et rejoint Skinner et le médecin. Scully : Je suis moi même docteur en médecine. Et je veux que vous arrêtiez tous traitements psychiatrique. Doggett arrive derrière le trio, mais n¹interrompt pas la conversation. Médecin : Je ne crois pas qu¹il faut arrêter son traitement. Il est violent. Scully : Ce qui vient de se passer prouve le contraire. Je vais rester avec lui quelques jours. Médecin : Je regrette, mais seule la famille peut rester près d¹un malade. Scully : Je suis la seule famille qui lui reste. Je suisŠ je suis son amie. Doggett à un sursaut intérieur. Ses yeux passent de Scully à Skinner. Il est surpris par le manque de réaction de Skinner. Doggett (en lui même) : Il ne dit rien, il n¹est pas surpris. Il devait le savoir depuis longtemps. Il y à beaucoup de choses cachées entre Mulder et Scully. Il faut que je parle avec le patron. Scully après une longue conversation retourne auprès de Mulder. Pendant ce temps Skinner et Doggett repartent séparément au siège du FBI. Doggett, se dirige vers le bureau de Kersh. Il frappe mais ne reçoit aucune réponse. Il repart vers son bureau. LIEU INCONNU Les trois hommes et la femme sont dans la pièce centrale d¹un grand bâtiment. Ils ne parlent pas, et se regardent en coin. Ils semblent attendre quelque chose ou quelqu¹un. Des pas dans le corridor, les font se retourner vers la même direction. Trois bruit sourds, tuent le silence si pesant qui règne dans la pièce. L¹homme le plus jeune des trois, ouvre la porte, après que trois nouveaux coups frappent sur la grande porte en chêne. Homme3 : Bonjour Monsieur nous vous attendions. L¹homme rentre dans la pièce. Il fait un vite tour d¹horizon des personnes qui se trouvent dans la pièce avec lui. La pièce est très sombre. Quelques faisceaux de lumières percent son obscurité. L¹un d¹eux, permet d¹identifier l¹homme qui vient d¹entrer, et celui qui lui à ouvert la porte. Kersh et Jeffrey Spender. Ce dernier reprend sa place derrière le fauteuil roulant de l¹homme le plus faible des trois. Jeffrey : Excusez mon père. Dans la matinée d¹hier, il à eu un accident pulmonaire. Les médecins ont été obligé de l¹intuber. Il ne pourra donc pas vous parler. Je serais son porte parole. Kersh : Merci Jeffrey. Monsieur, j¹espére que votre santé ira mieux dans le futur. CGB irrité, écrit sur un tableau. Après quelques minutes, Jeffrey lit ce qu¹y est écrit. Jeffrey : Votre présence parmi nous, à pour but justement de faire aller mieux ma santé. Le troisième homme qui était en retrait depuis le début de la scène, s¹approhe des trois hommes. Un faisceau lumineux éclaire son visage. Homme : Est ce que vous croyez que votre homme est de bonne confiance et est-ce que vous croyez qu¹il pourrait rejoindre notre groupe? Kersh : Monsieur Krycek, j¹ai placé l¹agent Doggett au bureau des affaires non-classées pour les fermer, et non pas pour qu¹il aide un groupe de fous qui veulent créer des extraterrestres. Femme : Nous ne voulons pas créer des extraterrestres, nous voulons l¹hybride parfaitŠ HOSPITAL, WASHINGTON 21H48 Scully est au chevet de Mulder. Toujours en lui caressant les cheveux, elle repense aux quelques mois qui se sont écoulés depuis la disparition de Mulder. Elle repense à tous ce qu¹elle a ressentie depuis qu¹elle a apprit sa grossesse. Scully : Oh Mulder, réveille toi. Tu as tellement de choses à rattraper avec moi, et avec ton enfant. Mulder gémit un peu et se réveille tout doucement. Diaprés les médecins, les tranquillisants ne doivent plus faire effets à présent. Mulder : HumŠ Scully. J¹ai soif. Scully prend un verre d¹eau qui se trouve sur la table de chevet. Et l¹amméne jusqu¹à la bouche de Mulder, qui péniblement déglutit l¹eau. Scully : Tu vas bien? Mulder : je crois que je serais encore mieux après un doux baiser.` Scully sourit, et se penche vers Mulder. Avant que leurs bouches se touchent, ils se regardent dans les yeux. Ils sont là tous les deux pour l¹autre et le savent très bien. La main de Mulder prend une des joues de Scully pendant que l¹autre serre tendrement sa main. Le contact se fait, leurs bouches sont liés par leur amour, par les quatre mois qui les ont séparés. Après ce doux baiser, Scully va voir le médecin pour lui demander un bon de sortie pour Mulder. Quelques heures plus tard, Scully et Mulder sont dans l¹appartement de ce dernier. Mulder ressent un bien être exceptionnel en retrouvant ses meubles. Scully l¹aide à le mettre au lit, et se couche auprès de lui. Il la prend dans ses bras, elle pose sa tête sur son torse, doucement le sommeil les englobe et ils s¹endorment dans la cette position. APPARTEMENT DE DOGGETT Le réveil indique 03h56. LA sonnerie du téléphone sonne une fois automatiquement le répondeur se met en marche. Voix : Agent Doggett, je veux vous présenter des personnes très importantes. Rendez-vous demain soir 1h00 PM au coin de la rue jornwiuts, au 33 stretts. Venez seul, et ne parlez à personne de ce rendez vous. LENDEMAIN MATIN Mulder se réveille en premier. il observe Scully quelques minutes sans rien dire. Il commence par le visage et son regard doucement descend sur les formes si désirables de sa partenaire. A son regard il joint une main, qui doucement part du coté de Scully pour s¹arrêter sur ses hanches. Par cette caresse Scully sort de son sommeil. Doucement elle ouvre les yeux, et découvre le bleu vert si familier de ceux de son partenaire. Mulder : Bonjour. Scully : Bonjour. Hum ça fait si longtemps que j¹espérai me réveiller à tes cotés. La main de Mulder continue son chemin à travers le corps de sa partenaire. Celle-ci un peut désorientée par ce que procure les sensations de la main de Mulder sur sa peau, ne réagit pas tout de suite. Quand la main passe près de son ventre, Scully sursaute. Scully : Mulder, j¹aiŠj¹ai quelque chose à te dire. Mulder : (qui embrassé Scully dans le cou) Quoi? Qu¹est ce qu¹il y à? Tu ne veux pas qu¹onŠ Scully : Non c¹est pas ça. C¹est que j¹ai quelque chose de très importante à te dire. JeŠ je. Scully ne trouvant la force de dire le mot, prend doucement la main de Mulder et la pose sur son ventre. Gardant la sienne sur celle de Mulder, Scully attend comme un signe. Mulder qui croit comprendre, Regarde Scully dans les yeux, tout en caressant son ventre. Mulder : Ce n¹est pas possible. TuŠ NousŠ Mulder est interrompu par une bosse qui vient frapper sa main. Mulder comme un gamin, se met sur les genoux face à Scully. La main toujours sur son ventre, il attend un autre coup, qui ne tarde pas à venir. Il regarde à nouveau Scully. Mulder : Dana tu es enceinte!? Scully (met une main dans les cheveux de Mulder) : Oui de quatre mois. Mulder : Mais quand avons nous créer cette petite chose? Scully (rigole) : eh bien je me suis souvent posés la question. Et par des calculs, je pense que c¹était en octobre. Tu te souviens de l¹affaire du génie. Après avoir eu fait trois voeux, nous sommes aller chez toi, pour regarder un film. Mulder : Oui je me souviens maintenant de ce que nous avons fait après. C¹était même la première fois que nous faisions l¹amour sur le canapé. Scully : Oui. Et bien c¹est ce soir là, sur le canapé, que nous avons créer notre enfant Mulder. Mulder : Merde alors! Scully : Tu m¹en veux? Mulder: Je t¹en veux de quoi d¹abords? Scully : Et bien d¹être enceinte. Mulder : Tu rigoles, je vais être papa. Ce qui me fais encore plus de joie, c¹est que je vais être papa, mais avec toi Dana. Et ca c¹est génial. C¹est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire ma puce, fonder une famille tous les deux. Il l¹embrasse. Et je suis si content de t¹avoir donner ce cadeau aussi. Scully : Oui c¹est un merveilleux cadeau d¹ailleurs. Une nouvelle bosse apparaît sur le ventre de Scully. Mulder se penche doucement et embrasse le ventre de Scully. Doucement sa bouche remonte le corps si familier de sa partenaire, jusqu¹à sa bouche. Un long baiser. Puis les mains des deux agents s¹animent, elles recherchent le contact électrique de la peau nue de l¹autre. Les quelques peu d¹affaires qui été sur eux sont très vite jeter en l¹air. Après ce moment de douceur nos deux agents se prélassent dans un bon bain moussant. Scully est allongé dos à Mulder. Mulder : (la main sur le ventre de Scully) Au fait est ce que tu sais si c¹est une fille ou un garçon? Scully : Non pas encore, normalement je devais passer une échographie le mois dernier, mais j¹ai un contre temps avec une affaire non-classée. Mais j¹ai rendez-vous la semaine prochaine. Tu viendras avec moi cette fois-ci. Mulder : Je ne veux pas rater ce rendez. Je suis heureux. Mais tu as continuer de travailler sur les affaires non-classées, toute seule et enceinte. Scully : En fait, euh, Skinner est au courant depuis le début que je suis enceinte, et pour me simplifier la vie, il m¹a assigné un nouvel coéquipier. Doggett, agent John Doggett. Mulder : Ah vous n¹avez pas beaucoup de temps à me remplacer. Et comment est il ce Doggett? Scully : Le prend pas mal comme ça Mulder. On ne t¹as pas remplacé. Ta place est toujours là. Ta présence est dans le bureau depuis trois mois. Chaque jours quand je rentrais dans le bureau je te ressentais. Cette sensation de toi, me traversée toute la moelle épinière et se répercutée dans mon ventre où notre enfant est en train de grandir. Mulder pose en baiser sur le côté de la tête de Scully pour se faire pardonner et il l¹enlace encore plus fort avec ses deux bras. Mulder :Pardon. Alors comment est-il sinon. Plutôt Mulderien et Scullyrien. Scully (rigole) : Il est pire que Scully à ses débuts. Mulder (se met à rire) : C¹est impossible. Ca n¹existe pas. Pire que toi à tes débuts. Scully ((pince le bras de Mulder) : HéŠTu es unŠ Hum Si je te dis qu¹il est le plus septique des hommes que la terre porte. Il ne croit absolument à rien. 1h00 PM Doggett est sur les lieux du rendez-vous. Il attend que quelqu¹un vienne le chercher. Krycek arrive et lui indique le chemin. Dans la salle, Kersh et l¹homme à la cigarette se parlent en écrivant sur un tableau, pendant que Marita et Jeffrey regardent un dossier médical. Krycek et Doggett arrivent. Tous le monde les regardent. Marita avance vers lui. Marita : Bonjour agent Doggett. Doggett fait un rapide aperçu des personnes qui l¹entour. Il ne connais personne à part Kersh. Marita : Je vais vous expliquer la raison de votre présence parmi nous dans quelques minutes. Mais pour que vous compreniez bien il faut que l¹on vous raconte toute l¹histoire depuis le début. Prenne place sur ce fauteuil ça risque d¹être long. Marita : Voilà pourquoi nous avons besoin de vous. Doggett : Vous êtes tous fous. Je ne crois pas aux extraterrestres. Et de plus je refuse de faire lui faire quoi que ce soit. Je la respecte beaucoup. L¹homme à la cigarette s¹énerve. Il prend son tableau et écrit quelque chose dessus. Son fils prend le tableau et lit : Jeffrey : Vous ne croyez pas en l¹existence des extraterrestres et bien regarder plutôt ceci. L¹homme à la cigarette appuie sur un bouton. Et un des mur se lève, pour laisser place à un aquarium, ou gît un corps d¹extraterrestre. Krycek : C¹est le dernier spécimen que nous avons. Il est mort depuis un an déjà. Nos espoirs reposés sur lui, et depuis sa mort nous devons trouver d'autres solutions. Doggett reste bouche bais. Marita s'approche de lui. Marita : Ce n¹est pas lui faire du mal, vous savez agent Doggett. Ca lui sauveras la vie. Elle croit que l¹enfant qu¹elle porte et le sien mais elle se trompe. Elle mourra en lui donnant naissance, et toute vie sur la terre en sera à jamais irradiqué. Vous êtes le seul à pouvoir nous aider et a aider l¹agent ScullyŠŠ Scully revient du siège du FBI, où elle devais récupérer un dossier. Elle entre dans l¹appartement de Mulder, où elle le retrouve sans connaissance dans le salon.En urgence Mulder est hospitalisé, pour un coma profondŠ A suivre.